RIEN ne justifiera JAMAIS une guerre

Les terres d’Arménie sont à nouveau meurtries.
Vos dons sont plus que précieux pour permettre à Santé Arménie d’intervenir le plus efficacement et le plus vite possible sur le terrain

Crédit photo: L.Minassian

Hors le temps et l’Espace

« Répandre l’âme arménienne à travers le monde, en diffusant par la musique ce qu’elle porte en elle d’universel et dire par le doudouk ce qu’aucun mot ni aucun autre instrument ne peut dire, dire l’indicible »
(Lévon Minassian)

 

“Si vous n’avez jamais entendu le son du doudouk joué par cet artiste international qu’est Lévon Minassian,
vous êtes sourds à la musique des anges.

Danielle Verna

Lévon Minassian est un virtuose européen exceptionnel, intemporel et fascinant comme sa terre d origine.
Un artiste aux accents d”Orient qui transcende par sa musique une âme venue du fond des temps, de ce pays au jardin d Eden, l’Arménie.
Sans-doute possède-t-il un philtre magique, pour, qu’à l’aide de son instrument, il puisse ainsi bercer le cœur, lui accrocher des ailes, le faire voguer par-dessus les hautes plaines; sans-doute est-il victime d’un enchantement pour, au-travers du bois rougeâtre et tendre de son doudouk millénaire, faire entendre les pleurs de ce peuple génocidé, une plainte, une lamentation ; sans-doute est-il tout à la fois la réincarnation de cette Arménie du sourire, de l’hospitalité des Arméniens, de la beauté de la moderne Erevan, du magnifique monastère de Tatev, pour communiquer ainsi l’apaisement et l’espoir. A la manière d’un « papier d’Arménie », le doudouk de Lévon Minassian imprègne les sens d’un parfum oriental de benjoin et de vanille.

« L’appel du doudouk est clair. Dans les mains de Lévon, ses notes montent gracieusement dans les airs, légères mais profondes, tristes mais évoquant des lueurs d’espoir et de temps plus heureux. Quand nombre de virtuoses choisissent de briller et d’éblouir, Lévon Minassian est maître du contrôle, de la retenue et de l’intensité émotionnelle. »
(Nige Tassel)


Crédit photo: L.Minassian


Sollicité sur le plan discographique en 1992 par Peter Gabriel, le travail de Lévon prend une dimension internationale.
Un coup de projecteur qui va faire de lui un doudouguiste très prisé des grands noms de la variété (Charles Aznavour, Patrick Fiori, Hélène Segara, Christophe Maé, Daniel Lavoie, Michel Legrand) ainsi que des personnalités de la world music (Sting, I Muvrini, Simon Emerson, Manu Katché).

En 1997, il joue à l’Elysée, invité en tant que soliste par le président de la République Jacques Chirac lors de la visite du président Arménien Lévon Ter Pétrossian.
En 2002, il reçoit « Le trophée des Maîtres » à Gumri, berceau du doudouk, devant 100 000 personnes.
En 2003, il est décoré Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres par le président Chirac.

Des albums sublimes

Citons le fruit de trois ans de travail, son nouvel  album « Sources » interprété avec un quatuor de doudouk d’Arménie, sublime la perfection de l’artiste.
Invention d’un univers s’inspirant moins d’une forme que de l’atmosphère d’une poésie pour imaginer des arrangements et à choisir des timbres qui révèlent de nouvelles couleurs de doudouk.

“…cet artiste s’est entraîné sans cesse. Et petit à petit, celui qui n’a jamais recherché la
célébrité sera reconnu comme un des plus talentueux joueurs de doudouk au monde.”


Crédit photos: L.Minassian

Chaque rencontre avec des musiciens d’autres cultures constitue pour l’artiste un enrichissement et un évènement inoubliable.


Lévon Minassian contribue à ce que le duduk s’inscrive dans les valeurs culturelles universelles, mêlant aux autres instruments du monde ses influences arméniennes à la fois si gaies si tristes.

Assister à un concert de Lévon Minassian, c’est entendre un artiste rare et voyager sur le fil de l’émotion.
A une époque où la violence envahit le monde, Lévon nous entraîne dans un univers hors du temps, permettant de se nourrir de beauté et de culture, de boire à la source du monde de la musique et de l’humanité, un plaisir, une exaltation indicible, une sérénité.

Crédit photo: L.Minassian

La musique que nous livre Lévon Minassian n’appartient plus à ce que l’on appelle le folklore,
musée des âmes mortes et ressuscitées,
ni à un espace géographique délimité
qu’on appelle un pays,
mais à cette sphère hors du temps et de la durée,
où l’âme a besoin de se prolonger
pour découvrir
qu’elle en a encore une
René Dzagoyan

Lévon Minassian “le murmure des vents”

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